Cuve basculante sur tous les modèles qui facilite l'évacuation du...
Possibilité de ranger 2 selles. Sacoches de rangement.
Structure renforcée grâce aux poteaux métalliques galvanisés. Longueurs...
Livré PARTOUT en France* pour 118,80 € TTC soit 99 € HTpour 1 à 7...
L’élevage de chevaux est une discipline passionnante qui allie savoir-faire traditionnel, connaissances modernes et amour des équidés. Ce domaine englobe une variété de métiers, chacun jouant un rôle essentiel dans la naissance, l’éducation et le bien-être des chevaux. Les éleveurs, soigneurs et autres professionnels de cette filière sont au cœur de la préservation des races équines et du développement de talents, qu’ils soient destinés aux sports équestres, au loisir ou aux travaux agricoles.
Travailler dans l’élevage de chevaux demande non seulement une expertise technique mais aussi une grande patience, une observation minutieuse et un profond respect pour l’animal. De la sélection des reproducteurs à l’accompagnement des poulains dans leurs premiers mois, chaque étape requiert des compétences spécifiques et une véritable passion pour le métier.
Que ce soit pour élever des chevaux de sport de haut niveau, contribuer à la sauvegarde de races rares ou répondre à des besoins locaux, les professionnels de l’élevage jouent un rôle crucial dans le paysage équestre. Ces métiers, souvent exigeants mais toujours enrichissants, invitent à découvrir une relation unique entre l’homme et le cheval, dans un cadre où traditions et innovations se rejoignent.
L’éleveur équin est un chef d’entreprise multitâches. Il est le propriétaire ou le locataire de sa structure équestre, il peut également être le propriétaire de chevaux.
Par définition, c’est un métier où l’on ne s’ennuie jamais, d’autant plus s’il souhaite gérer seul son activité. Ce ne sera pas une mince affaire !
Les missions et compétences :
Il devra à la fois assurer la surveillance et les soins aux reproducteurs tout le long de la saison de reproduction ainsi que des naissances.
Il devra s’occuper des poulains en apportant les soins nécessaires. Il interviendra dans leur éducation, voire, pour certains éleveurs, valorisera leurs produits dans leur discipline de prédilection et/ou augmentera leur cheptel de reproducteurs.
Il faudra également être compétent dans l’entretien de son établissement agricole. C’est à dire entretenir et améliorer les bâtiments d’élevages, valoriser les extérieurs de son haras et gérer les pâturages et cultures …
De très bonnes connaissances sont attendues dans la reproduction, l’alimentation, les soins… et une maîtrise parfaite de la manipulation des équidés qu’ils soient étalons, poulinières ou poulains.
Etre à l’aise avec les fournisseurs et la clientèle du haras en maintenant de bonnes relations…Parler Anglais est un réel atout !
Et comme dans toute entreprise, de très bonnes notions administratives et financières, auxquelles il ne pourra pas échapper s’il souhaite pérenniser et valoriser son élevage !
On ne devient pas éleveur du jour au lendemain, en général les personnes qui souhaitent suivre cette voie ont déjà de l’expérience dans ce domaine, soit parce qu’ils y ont travaillé soit parce que l’élevage est une histoire de famille.
Les formations :
Il faut être titulaire d’un Bac Pro CGEA (Comptabilité et Gestion des l’Exploitations Agricoles), d’un BPREA (Brevet Professionnel Responsable d’Entreprise Agricole) ou d’un BPREH (Brevet Professionnel Responsable d’Entreprise Hippique).
Le futur éleveur pour bénéficier d’aides à l’installation en tant que jeune agriculteur
Evolution :
Il sera possible d’évoluer en tant que courtier ou marchand de chevaux
C’est un poste que vous pourrez trouver dans de grande structure, souvent pour venir en aide au propriétaire éleveur du Haras qui comme nous l’avons vu plus haut a de nombreuses casquettes.
Les missions et compétences :
Vous serez en quelque sorte le bras droit de l’élevage sans gérer les tâches administratives, financières et devoir prendre les grandes décisions qui incombent à tout chef d’entreprise.
En tant que bras droit, vous devrez gérer en grande partie en autonomie la structure comme si c’était votre propre élevage ! Vous devrez remonter les informations au propriétaire du haras, trouver et présenter des solutions, gérer le personnel présent et nécessaire au bon fonctionnement de l’établissement.
Il est évident qu’il faut également avoir des compétences techniques et humaines que pour être responsable d’élevage et mener à bien l’ensemble de la structure.
Les formations :
Pour accéder à ce poste à responsabilité, il vous sera nécessaire d’obtenir un Bac Pro CGEA (Conduite et Gestion de l’Entreprise Agricole) suivi d’un BTSA PA (Brevet Technique Supérieur Agricole Production Animal option Equin de préférence) OU d’un BTSA ACSE (Analyse, Conduite et Stratégie de l’Entreprise agricole).
Evolution :
Après un poste comme celui-ci, il vous sera aisé de vous installer un jour à votre propre compte enrichi de votre expérience ! Il vous faudra juste suivre une formation complémentaire en gestion et économie.
C’est une vraie spécialité ! Comme l’intitulé du métier l’indique, il sera LE responsable du cheptel des reproducteurs mâles.
Les missions et compétences :
En charge de planifier les saillies, qu’elles soient en monte naturelle ou en prélèvement récolté, l’étalonnier devra organiser ces dernières en fonction de la demande des clients et des cycles des juments.
Il aura pour responsabilité la prise en charge des juments arrivant et séjournant au haras, en contrôlant les papiers ainsi que le statut sanitaire demandé avant toute saillie.
Il devra gérer la délivrance des papiers officiels de monte publique via le certificat de saillie ainsi que la facturation de la prestation de saillie et de pension si la jument a séjourné dans l’établissement. Sauf si une secrétaire est dédiée à ces tâches.
Enfin, il devra assurer la promotion, la valorisation et la vente de cartes de saillies.
Ce métier nécessite une très bonne connaissance en reproduction, en génétique ainsi qu’en soins divers comme l’alimentation, la prophylaxie et le bien-être des reproducteurs qui en fin de saison sont quelque peu fatigués !
Il est important de maitriser la règlementation de la monte et les règles de sécurités pour les étalons, les juments et toutes personnes environnantes.
Il faut également avoir un très bon relationnel commercial !
Les formations :
Pour accéder à cette spécialité, il faut détenir un BPREA, BPREH, Bac Pro CGEA ou CGEH.
En général, ce poste est accessible seulement à partir de plusieurs années après avoir travaillé dans un haras détenant des étalons.
L’évolution :
Après avoir été étalonnier, il est possible de devenir inséminateur mais pour cela il faut l’obtention d’une licence.
Il est également possible de devenir responsable d’un élevage ou d’une écurie
Là aussi une spécificité parmi les métiers de l’élevage qui consiste à prélever la semence des étalons en vue d’inséminer plusieurs juments avec le même éjaculat.
Les missions et compétences :
Le chef de centre d’insémination a pour mission de réaliser, organiser et gérer les activités liées à l’insémination artificielle. C’est-à-dire prélever les semences, les congeler, stocker des doses et d’expédier ces dernières vers d’autres centres.
Il est apte à réaliser différentes prestations comme la récolte et le transfert d’embryons et gérer les troupeaux de juments receveuses.
Maîtriser les règles sanitaires et réglementaires sont essentielles pour ce métier.
Le chef de centre s’engage à respecter et appliquer la réglementation en vigueur concernant tous les aspects sanitaires tout en se tenant informé des dernières avancées et technologies innovantes pour les appliquer dans son centre.
Pour accéder à ce poste, il faut être expert en zootechnie, être particulièrement expérimenté sur la reproduction des juments et des étalons et n’avoir aucune appréhension envers les chevaux, notamment avec les étalons lors des prélèvements qui peuvent être quelques fois impressionnants surtout en début de saison !
Etre organisé, savoir gérer des équipes et avoir un bon relationnel avec sa clientèle qui confie leurs étalons et juments sont des atouts pour ce métier.
Il pourra également devenir formateur pour encadrer de futur inséminateur.
Les formations :
Pour de devenir chef de centre d’IA équine, il faudra obtenir un certificat d’aptitude aux fonctions de chef d’inséminateur artificielle équine qui sera délivré par le Ministère de l’Agriculture.
Pour obtenir ce certificat, il faut les conditions suivantes :
- être titulaire d’un Bac+2 et justifier de 3 ans de pratique en IA
ou
- être titulaire au minimum d’un niveau 3 c’est-à-dire un CAP et justifier de 5 années d’activité dans le milieu agricole dont 4 années en IA.
Le Haras du Pin dans l’Orne propose des formations pour obtenir ce certificat ! N’hésitez pas à les contacter !
L’évolution :
Il possible de devenir responsable d’élevage ou éleveur d’équidés.
Le travail de l’inséminateur équin consiste à avoir les mêmes missions qu’un chef de centre d’insémination sans avoir la responsabilité du centre et la gestion des équipes.
Les formations :
Il devra effectuer les mêmes formations ou avoir le même niveau d’études et pratiques que le chef de centre.
L’évolution :
L’inséminateur peut devenir chef de centre d’IA ou responsable d’élevage.
C’est le palefrenier soigneur en charge de s’occuper de tous les chevaux du haras, du poulain à la jument et à l’étalon.
Les missions et compétences :
L’assistant d’élevage aura à sa charge les soins, la surveillance et la manipulation des poulains juments et étalons. Il sera aussi la nounou des poulains en leurs inculquant quelques règles éducatives.
Le nettoyage, l’entretien de la structure des bâtiments, des espaces verts et des pâturages font partis de ses fonctions.
Il pourra également transporter les chevaux pour les saillies, les IA, chez le vétérinaire …
Pour ce métier, il faudra avoir toutes les qualités qui sont recherchées dans le monde équestre, la passion et la connaissance du cheval. Il faut également être robuste pour assumer les charges et conditions de travail liées à ce métier.
Les formations :
Au minimum un CAP soigneur est requis mais n’hésitez pas à pousser un peu plus loin vos connaissances afin de vous assurer une possibilité d’évoluer, comme installer votre propre structure !
Essayez d’aller au moins vers le Bac Pro (CGEA) ou BPREA/BPREH, voir même un BTSA production animal ou ACSE avec une option équine.
Bien que les nouvelles technologies prennent place dans le milieu de l’élevage, bien qu’améliorant le confort des éleveurs, rien ne remplacera la présence et une surveillance humaine lors du poulinage !
Les missions et compétences :
Le veilleur de nuit est en quelque sorte « la sage-femme » du haras lors de la saison des poulinages. Il est missionné pour surveiller chaque jument durant la nuit, porter son aide lors des poulinages, pratiquer les premiers soins aussi bien sur la jument que sur le foal et appeler les personnes compétentes en cas de problèmes.
Il est donc indispensable d’avoir une grande connaissance du comportement et des soins de premières urgences des chevaux. Il faut être responsable, être autonome, savoir prendre des initiatives et avoir une bonne résistance au sommeil !
Les formations :
Un CAPA soigneur est nécessaire pour démarrer ! Afin d’assurer son évolution, il est vivement conseillé de poursuivre en Bac Pro CGEA ou CGEH.
Les évolutions possibles vont découlées vers des postes à responsabilité de palefrenier, de responsable d’écurie et d’étalonnier.
Il pourra également s’orienter comme auxiliaire vétérinaire grâce à toutes ses connaissances acquises sur le terrain en ce qui concerne les soins.
Vous venez de découvrir ces métiers de l'élevage de chevaux qui incarnent une harmonie unique entre tradition et modernité, où la passion pour les équidés guide chaque geste. Ces professions, bien que souvent exigeantes, offrent la satisfaction de contribuer à la naissance, à l’épanouissement et à la valorisation de ces animaux majestueux. En tant qu’acteurs essentiels du monde équestre, les éleveurs et leurs équipes jouent un rôle déterminant dans la préservation des races et le développement des talents équins, perpétuant ainsi un lien précieux entre l’homme et le cheval.
Envie d'être accompagné et d'avoir plus d'informations, n'hésitez pas à nous contacter ! Je prends contact
Envie de recevoir les derniers conseils, astuces ou guides de choix ? Je m'inscris à la newsletter